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 Comprendre les runes, tome I

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Swan
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Swan


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MessageSujet: Comprendre les runes, tome I   Comprendre les runes, tome I EmptyJeu 4 Fév - 0:11

Comprendre les runes, tome I Arabes10

Nom de l’auteur : Magysa Letropi
Type : Tome arcanique
Titre : Comprendre les runes, tome I
Note à propos de l’auteur :Magysa Letropi est arcaniste de formation. Elle enseigne à temps partiel à la tour des mages, et propose régulièrement des conférences à Dalaran.
Note à propos de l’œuvre : Quelques bases de connaissances sur les runes, destinées aux mages débutants.
La parenthèse : Livre écrit par Swan.

Comprendre les runes, tome I Arabes10

I – Les lignes telluriques


Azeroth est couverte de lignes telluriques, dues à l’ancien Puits de l’Eternité. Ces dernières forment un réseau immense et complexe. En de nombreux endroits, les lignes se rencontrent, se croisent, se concentrent. Ces points sont alors tout sauf banals – citons Karazhan qui est placé sur une importance convergence des lignes telluriques.
Les lignes telluriques peuvent former des motifs dans leur tracé. Ces motifs sont appelés runes.


II- Les motifs runiques

Les runes sont faites des lignes telluriques se rencontrant (un peu comme des nœuds, comme des points de jonction). Elles sont faites de lignes et de courbes compliquées. Les runes sont la représentation écrite des sentiers qu’empruntent les lignes telluriques.

Chaque rune fait appel au motif correspondant. Quand l’énergie magique se déverse dans ce motif précis, on obtient l’effet magique correspondant (un sort, par exemple).

Quand une rune génère un effet magique, elle brille. La couleur dépend de l’utilisateur et de la rune.


III- Plusieurs runes ensemble

Les runes sont organisées en motifs runiques, qui ne sont pas des runes séparées (Si vous mettez plusieurs runes ensembles, elles formeront une seule grande rune).
Chaque rune est la représentation d’un endroit où un utilisateur de runes a un jour eu l’occasion d’étudier. En découvrant le plan précis des lignes telluriques dans un endroit de pouvoir, la nature de cet endroit peut être recréée. On peut supposer qu’un motif découvert dans un désert donnera une rune à effet de destruction par le feu, par exemple.
Quand un utilisateur de runes est présent dans un site où un motif de rune est basé, il est considéré comme étant plus puissant dans l’utilisation de la rune concernée.


Par exemple, prenons un sort complexe réalisé grâce à une rune. En réalité, la rune de ce sort « complexe » inclut le motif d’un sort moins complexe qui le précède dans le motif runique.
Pour l’essentiel, chaque motif runique est un motif toujours plus grand, le centre de la rune étant la rune la plus simple, à laquelle ont été ajoutés de plus grands degrés de complexités. (On a pris un motif runique simple et on y a ajouté d’autres motifs pour le complexifier.)


IV- L’utilisation des runes

Employer une rune est donc faire circuler l’énergie magique dans le motif, et le processus est presque identique à l’incantation d’un sort. Les runes sont inertes quand leur possesseur ne leur donne pas de pouvoir. La magie des runes se fait donc en deux temps : la création de la rune, puis (tout de suite ou plus tard) il lui donne du pouvoir.
A noter qu’il n’est pas obligé que les deux étapes soient faites par la même personne pour que cela fonctionne, mais l’utilisateur doit connaître l’existence et le motif de la rune.

V- Différence entre incantateur de sorts et utilisateur de runes

L’incantateur classique canalise le pouvoir des arcanes et le forme à travers ses gestes, ses mots et son matériel.

L’utilisateur de runes, lui, déplace l’énergie dans le motif runique, servant lui-même de canal entre l’énergie et la rune.

VI- La corruption des arcanes

L’utilisation des runes ne cause aucune corruption par les arcanes, au contraire de l’utilisateur d’incantation de sorts. En effet, les sorts incantés ne sont pas naturels. Ils sont formés par des motifs faits artificiellement de toutes pièces par l’incantateur. Ce dernier oblige l’énergie à se tordre et à se plier à ses désirs. C’est un acte d’orgueil ; forcer l’énergie du monde à obéir aux désirs de l’incantateur est la raison pour laquelle d’autres types d’incantations arcaniques provoquent une corruption.

Les sorts liés aux runes existent déjà dans le monde. Ces motifs sont naturellement présents dans le monde : l’utilisateur de runes n’a pas besoin de forcer l’énergie à lui obéir. Elle coule naturellement dans le motif – ce sont des motifs créés par l’énergie elle-même, que l’utilisateur de runes aura dupliquées à une plus petite échelle (dessiner le symbole, par exemple).

V- Les trois types de runes

Les marques sont des runes inscrites sur une créature. Les marques génèrent leur effet immédiatement après apposition complète de la rune.

Les glyphes sont des runes inscrites sur un objet. Les glyphes, tout comme les marques, génèrent leur effet immédiatement après apposition complète de la rune. Les glyphes peuvent également servir d’alphabet pour ceux qui savent déchiffrer ce type de runes : des mages peuvent ainsi écrire des lettres glyphées.
! A noter que parfois, dans le cas de runes écrites, « runes » peut être un abus de langage et correspondre à un certain langage : on croyait en effet autrefois que les runes étaient juste des « inscriptions anciennes », aussi des runes orques peuvent-elles correspondre à des phrases orques et non à des glyphes !

Les sceaux sont des runes inscrites sur une surface qui agit quand le sceau est activé. Si une créature entre dans le champ d’action du sceau, l’action liée se déclenchera et la touchera.


VI- Les trois utilisations des runes

Les runes spontanées sont crées quand l’utilisateur de runes n’a pas le temps de bien inscrire la rune sur une surface (en plein combat, à tout hasard). Il vaut mieux, au cas où, avoir sur soi de petites pièces de bois ou de pierre sur lesquelles sont magiquement inscrites les runes que l’utilisateur connaît. Il suffit alors de toucher l’une de ces pierres runiques et de canaliser son pouvoir à travers la rune. La rune disparaît alors du support et apparaît sur la chose ou la personne visée. C’est la manière la plus fragile et la plus rapide.

Les runes écrites sont les plus utilisées. En utilisant des pigments appropriés, l’utilisateur de runes peut créer une rune. La rune existe alors sur un objet, contrairement à la rune spontanée où le tracé coûte de l’énergie magique. L’autre avantage est qu’il est plus difficile avec cette méthode de détruire la rune. Il faut placer la rune sur la personne ou l’objet visé. Une fois la rune utilisée, elle disparaît.

Les runes permanentes sont celles qui, une fois créées, sont presque impossibles à détruire, et qui ne disparaissent pas quand elles sont utilisées. La chair vivante doit être tatouée avec les marques. Le support non-vivant est gravé avec un stylet ou un burin rituel. L’utilisateur de runes, selon certains, place aussi une petite part de son propre esprit dans la rune. L’avantage est la difficulté extrême qu’oppose la rune à quelqu’un voulant la détruire. Quand la magie courant à travers la rune disparaît, la rune existe toujours sur la cible, et l’utilisateur de runes peut lui donner du pouvoir de nouveau.


VII- Destruction de runes

Les runes étant d’origine naturelle, si je puis dire, elles sont naturellement difficiles à détruire. Des dommages causés n’attaqueront que la rune, pas la personne ou l’objet sur lequel la rune est apposée – sauf s’il y a excès de dégâts.

Une rune spontanée est simple à détruire via un moyen magique, comme la dissipation de magie et sorts similaires. Dissiper une rune dissipe également son effet.

Une rune écrite ou permanente est plus dure à détruire. L’encre utilisée pour créer la rune n’offre pas grande résistance, mais une fois la rune chargée de pouvoir, l’encre se régénère aussi longtemps que le pouvoir reste. Aussi, pour dissiper la magie d’une telle rune, cette dernière doit vraiment encaisser beaucoup de dégâts, ou être plus faible que le sort de dissipation.

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